VIOLENCE CONJUGALE

Violence conjugale

DEUTSCH-FRANZOSISCHE FREUNDSCHAFT 

Issus de milieux complètement opposés -l’un est le descendant d’un riche industriel allemand et l’autre un fils d’artisan- André & Hans se rencontrent sur les bancs du lycée. Tous deux passionnés par Bowie & Kenneth Anger, ils préfèrent sécher les cours et passent leur temps à fumer en cachette dans la salle qui sert de ciné-club. C’est dans cet endroit qu’ils rêvent d’un futur idéal, fait de voyages dans l’espace et de musique industrielle.

A l’étroit dans cette institution privée, ils décident de partir pour Berlin en se demandant quelle goût y a la décadence. Ils font la rencontre de Marianne Katza, femme excentrique s’il en est, qui leur propose de venir vivre dans un squat d’artiste situé dans le quartier de Mitte. A la manière de la Factory de Warhol, cet endroit est un perpétuel bouillonnement d’idées, de musiques, de drogues…

André commence à bidouiller sur un Korg MS20 (il ne dira jamais d’où provenait l’argent pour un tel achat) et rêve de performances décadentes pendant que dans la pièce mitoyenne, Hans tente d’exorciser ses peurs en notant dès le réveil les rêves étranges qui habitent ses nuits.

Marianne décide alors de les présenter à un de ses amants de l’époque : Marc Berron, un jeune fils à papa arrogant mais doté d’une oreille incroyable. C’est lui qui les aidera à freiner leur consommation de drogue et leur fera prendre une nouvelle direction: Celle d’une musique personnelle et froide, au format pop mais avec cette urgence qui caractérise la vie actuelle des jeunes berlinois. Il les “kidnappe” dans son studio pendant plusieurs semaines afin d’expérimenter, de créer, de donner du sens et de trouver le son de Violence Conjugale!

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From completely opposite cultural backgrounds, one is the son of a rich german industrial man and the other of a craftsman, Hans and André meet early in highschool. Their mutual love for Bowie and Kenneth Anger pushes them to flunk school and smoke in their tiny school movie room. There they dream of an ideal future, made of space travels and industrial music.
Feeling the pressure from this private institution, they eventually decide to go to Berlin and see what taste has decadence there. They meet Marianne Katza, an excentric woman who tells them to come to an artist squat in Mitte district. As Warhol’s Factory, the place is an indistincte magma of ideas, musics and drugs.
Here, as André begins to fiddle with a korg ms20 synth (he never told where he found the money to afford it) and dreams of exquisites performances, in another room, Hans tries to write his wildest nightmares to exorcise them.
Marianne decides to introduce the future band to one of her lovers: Marc Berron, a young arrogant and rich kid blessed with a perfect ear. He helps them to slow down their drugs issues and take a new direction: to play a cold and personal music in pop format but with a feeling of urgency which caracterized young berliners.
So he kidnaps them in his own studio for several weeks to experiment, give feelings and eventually find Violence Conjugale’s definitive sound.

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